Il existe aujourd’hui 3 types de sérigraphie industrielle à plat. Ils vous permettent de positionner l’image ou le motif à l’endroit souhaité. Pour les couleurs, elles sont souvent imprimées une à une avec des temps de séchage intermédiaires (à l’air libre, dans un tunnel UV, etc.). Pour le support à imprimer, il est maintenu en place en échange de 3 tasseaux ou contre un calage réalisé sur mesure et sur table aspirante.
Après avoir fixé l’écran à la machine d’impression, la prochaine étape sera que la machine de sérigraphie doit être réglée par le « contact off ». Cela lui permet de tacher pendant l’impression et de coller.
Ensuite, l’encre se dépose progressivement sur la toile de l’écran. Une raclette d’impression servira ensuite à appliquer l’encre sur le support. À travers les mailles ouvertes du tissu. Pour l’opération, elle est effectuée autant de fois que nécessaire.
A noter qu’il existe aujourd’hui plusieurs machines permettant ce type d’impression. Il s’agit en fait d’assemblages de machines traditionnelles,
souvent monochromes, et associées à des systèmes automatisés afin d’assurer la circulation et l’identification des supports à imprimer,
le plus souvent pour les enfants.
Après ce mode de sérigraphie, nous avons également la sérigraphie rotative, avec un procédé quasi identique,
mais avec un réglage différent. Cette technique de personnalisation est souvent utilisée sur des objets spéciaux (verres cylindriques, stylos, portes, etc.).
Enfin, nous avons la sérigraphie textile qui est utilisée sur les vêtements. Il n’est donc pas possible d’imprimer la première couleur, d’enlever le texte ou encore de sécher l’encre afin de repositionner le textile au même endroit. A noter que la gestion du calage des couleurs est une donnée particulièrement importante, car elles sont détectées à la volée et non les unes sur les autres.